亚洲av无码码潮喷在线观看,亚洲一区无码内射不卡,а∨天堂在线手机版,久久人妻av中文系列

Angqing, descendant des anciens serfs tibétains agé de 80 ans : Mon bonheur a été rendu possible grace à la libération pacifique du Xizang ! (Partie II)

Publié le 2024-06-06 à 15:47  |  China Tibet Online

Je me souviens de ce mois de novembre 1954 lorsque les véhicules de l'APL sont arrivés à Nagqu. Nous nous sommes rassemblés autour de ces véhicules, regardant à gauche et à droite, émerveillés par cette nouveauté. Le 25 décembre 1954, la route Kham-Xizang (aujourd'hui connue sous le nom de route Sichuan-Xizang) et la route Qinghai-Xizang ont été respectivement éténdues depuis Ya'an et Golmud jusqu'à Lhassa, franchissant de nombreuses montagnes et mettant ainsi fin à l'absence de routes au Xizang. La cérémonie d'inauguration s'est déroulée devant le palais du Potala, marquant une autre journée mémorable dans l'histoire du Xizang. 

Le parti communiste est arrivé, ouvrant les routes et apportant le bonheur avec eux. 

à cette époque, je gardais chaque jour des moutons non loin de la route et j'observais les travailleurs effectuer des travaux d'entretien des routes. Au fil du temps, nous nous sommes familialisés, alors je leur ai exprimé mon désir de travailler. L'un des chefs, M. Ma, m'a demandé : ? Tu veux travailler toi aussi ? Alors pourquoi pas ? Que peux-tu faire pour l'entretien des routes ? ? J'ai répondu : ? Je peux le faire ! Je ferai tout ce que vous faites ! ? M. Ma a accepté. C'est ainsi que j'ai commencé à travailler avec eux. 

Le premier jour sur le chantier, j'étais tellement enthousiaste de monter la charette. à cette époque, nombreux parmi nous qui travaillions ensemble étions les descendants de serfs, n'ayant re?u aucune éducation auparavant. Le chef de notre section nous encourageait constamment à étudier sérieusement et à bien accomplir notre travail, en soulignant que nous étions désormais des citoyens de la République populaire de Chine, faisant partie de la classe ouvrière. à cette époque, nous n'avions aucune notion de ces concepts. Un camarade de travail du nom de Dechen nous a alors fait la traduction, et c'est ainsi que nous avons compris l'importance de notre statut actuel. 


En photo : une pioche exposée dans la salle commémorative de la route Qinghai-Xizang, située dans le parc Jiangjunlou à Golmud. 

à l'époque, notre équipe était composée d'environ onze à douze personnes, parfois huit à neuf personnes, avec généralement deux personnes par groupe. Les membres venaient de différentes communautés ethniques, notamment des Han, des Tibétains et des Hui. Chaque matin, nous marchions ensemble jusqu'au chantier, puis nous rentrions à pied l'après-midi. à une altitude de 4700 mètres, nous avions peu d'outils, seulement des charettes, des pioches et de gros marteaux. Pour être honnête, c'était vraiment difficile, mais nous n'avions plus à subir les insultes ou les chatiments physiques. Si nous commettions une erreur, les autres nous expliquaient pourquoi notre méthode était incorrecte et comment la corriger, en nous donnant des explications et en nous enseignant progressivement. Ce n'était plus une punition infligée avec un fouet ou un baton. 

En regardant en arrière, je me demande d'où provient cette énergie et cet esprit chez les travailleurs sur la route. Je suis convaincu que pour chacun d'entre nous, la route Qinghai-Xizang est notre foyer. C'est grace à elle que nous avons tout, sans elle, nous n'aurions rien. 

En tant que descendant des serfs originaire des prairies du nord du Xizang, je suis un bon exemple. D'un simple éleveur ignorant de tout, je suis devenu un travailleur pouvant participer à l'entretien de la route Qinghai-Xizang, une tache d'une telle importance, et partager tant d'honneurs avec mes collègues. Tout cela m'a été offert par le Parti communiste chinois. Nous ressentons tous que sans le Parti communiste chinois, il n'y aurait pas de nouvelle Chine, ni de nouveau Xizang. Sans la direction du Parti communiste chinois, il n'y aurait pas de routes au Xizang, et sans routes, notre vie heureuse actuelle serait impossible. Des milliers de héros ont sacrifié leur vie pour nous créer cette vie heureuse, et nous devons suivre leurs pas et continuer d'avancer. Telle est l'aspiration des travailleurs de la route. 


En photo : les travailleurs de l'entretien routier s'investissant pleinement sur la section de la route Qinghai-Xizang, de Golmud à Lhassa (ligne 109). 

Auparavant, certains méprisaient les travailleurs de l'entretien routier. Lors des fortes chutes de neige, certains pouvaient nous dire : ? Nous avons failli tomber dans la même situation que vous ! ? car ils nous considéraient comme des ? mendiants avec des batons ?. Nous ne nous voyons pas ainsi. Nous sommes la classe ouvrière de la Chine et nous devons assumer nos responsabilités en accomplissant notre travail avec diligence. Par le passé, le Xizang n'avait même pas un kilomètre de route ! Aujourd'hui, il y a des voitures qui circulent, des avions qui volent et des trains qui roulent. Une fois les problèmes de transport sont résolus, toutes sortes d'affaires sont plus faciles à gérer pour la grande masse. 

Ma fille et mon fils sont maintenant tous les deux engagés dans l'entretien routier. Au début de leur travail, ils se sont plaints de la difficulté et de la lourdeur de ce travail, me demandant : ? Papa, est-ce que tu as aussi souffert à l'époque ? ? Je leur ai répondu que la souffrance était nécessaire et que c'est par un travail acharné que le socialisme se construit. Si nous faisons tous notre part, le peuple aura une vie heureuse. Si personne ne fait son travail, le bonheur sera inexistant. Nous avons maintenant une maison où vivre, une voiture à conduire, tout est complet. Le bonheur est le fruit des efforts, c'est pourquoi chaque génération doit prendre le relais et continuer de travailler sans relache !

(Rédactrice : Lucie ZHOU) 

    • <sup id="oooo0"></sup>
    • <nav id="oooo0"></nav>
    • <small id="oooo0"><menu id="oooo0"></menu></small>