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Tashi Wangmo : "j'ai deux villes natales, l'une le Tibet et l'autre Beijing"

Publié le 2022-05-31 à 17:49  |  China Tibet Online

"C'est vrai que ces années sont difficiles pour moi. Mais en même temps, je ressens aussi profondément que tout était si merveilleux et que ces jours difficiles ont fait de moi ce que je suis aujourd'hui." Tashi Wangmo, qui travaille à Beijing depuis plus de 20 ans, ne veut pas trop insister sur son chagrin, mais espère que son expérience pourra apporter confiance et motivation à d'autres étrangers travaillant à Beijing.


En photo :Tashi Wangmo interviewée par les médias.

De danseuse à personnel d'h?tel

En 1983, encore adolescente, Tashi Wangmo a été sélectionnée pour rejoindre la première classe du ballet dans la région autonome du Tibet. Après cinq ans d'études à Shanghai, Tashi est retournée à Lhassa et a été affectée à la Troupe de chant et de danse du Tibet. Pendant les dix années qu'elle a passées au sein de la troupe, Tashi Wangmo a souvent voyagé avec la troupe pour des visites ou pour des représentations à la campagne. Elle était très populaire dans la troupe en raison de son professionnalisme et de sa personnalité. La vie à Lhassa lui plaisait beaucoup et elle trouvait merveilleux d'être parfois occupée et parfois tranquille.


En photo :Tashi Wangmo et ses collègues.

En 1988, Tashi Wangmo a rencontré et épousé Tenzin Lhundrup, qui travaillait alors à l'Académie des sciences sociales de la région autonome du Tibet. En 1995, lorsque le Centre de recherche en tibétologie de Chine à Beijing a eu un besoin urgent de professionnels pour renforcer son équipe de recherche. Tenzin Lhundrup, le premier docteur en sociologie tibétain, a été transféré pour travailler au Centre, et Tashi Wangmo, qui était enceinte, a suivi son mari à Beijing, à des milliers de kilomètres de Lhassa.


En photo : Tashi Wangmo avec Pasang (à droite), ancienne secrétaire adjointe du comité du Parti de la région autonome du Tibet, et Tseten Drolma (à gauche), célèbre chanteuse tibétaine.

"J'avais pensé retourner travailler au sein de la troupe de chant et de danse après mon accouchement. Mais après la naissance de mon enfant, les dirigeants du Centre de recherche en tibétologie m'ont parlé, espérant que je resterais à Beijing avec Tenzin Lhundrup, et qu'ils m'aideraient à trouver un emploi si je pouvais y être. Parce que le travail à Beijing avait besoin de Tenzin Lhundrup, la direction était inquiète que la séparation de notre couple affecte son travail." Face à la sincérité de la direction, Tashi Wangmo ne pouvait supporter de refuser malgré elle: "J'étais pleine de contradictions et je ne savais vraiment pas comment refuser. à ce moment-là, je me suis dit : reste un an de plus, après un an, je devrais pouvoir rentrer chez moi."


En photo : Tashi Wangmo et les employés.

à l'époque, les dirigeants du Centre de recherche en tibétologie se sont vraiment donnés beaucoup de mal pour s'assurer que Tashi Wangmo puisse rester et travailler à Beijing. Ils ont coordonné avec de nombreuses parties et lui ont offert de nombreuses et excellentes opportunités. Comme la ville lui était inconnue, Tashi Wangmo ne s'est pas sentie très intéressée à tous ces emplois. "Un jour, alors que Tenzin Lhundrup et moi nous promenions dans les environs du Centre, nous avons vu une bannière accrochée sur le batiment nouvellement construit en face du Centre, sur laquelle on pouvait lire 'Beijing Tibet H?tel'. Le nom de sa ville natale, "Tibet", faisait que Tashi Wangmo se sentait très proche de lui. "Je vais aller travailler à l'H?tel du Tibet", a-t-elle immédiatement dit à Tenzin Lhundrup, sans hésiter. "C'est la même chose que si je travaillais au Tibet."


En photo : Tashi Wangmo.

Le lendemain, Tenzin Lhundrup a emmené Tashi au Beijing Tibet H?tel pour postuler un emploi. "à l'époque, l'H?tel du Tibet venait d'être construite et chaque département avait besoin de personnel. Et comme je faisais partie des très rares Tibétains, j'étais l'objet d'une grande compétition." Finalement, Tashi a été "happée" par le directeur du service de restauration et chargée des taches administratives internes de ce service.


En photo : Tashi Wangmo participant à l'activité de la Famille des Han et des Tibétains.

La responsabilité exige un engagement

Le Beijing Tibet H?tel fait partie des projets programmés lors de la 3e Conférence de travail d'aide au Tibet du Comité central du Parti communiste chinois. Il s'agit du premier h?tel quatre étoiles de la région autonome du Tibet à Beijing, qui allie un style architectural ethnique tibétain à des installations et des équipements modernes de niveau international. Il est une entreprise en tant que vitrine du Tibet à Beijing, ainsi qu'une fenêtre permettant au Tibet de présenter sa culture, son folklore et son développement économique au monde extérieur.


En photo : Tashi Wangmo avec d'autres membres du 10e Comité du Parti communiste chinois de Beijing lors de la 4e session plénière du comité.

Depuis la création de l'H?tel du Tibet en 1997, Tashi Wangmo s'est pleinement engagée ici, faisant de son mieux pour que chaque Tibétain qui séjourne à l'H?tel du Tibet se sente "chez lui à Beijing". "Beaucoup de Tibétains viennent à Beijing pour un traitement médical ou pour un voyage touristique, donc nous nous occupons de prendre et déposer les gens et de leur donner des guides de visite. Et nous aidons aussi à traduire quand certaines personnes rencontrent des difficultés dans la langue. En fait, ces choses ne font pas partie du travail, elles sont toutes faites de notre propre initiative." Les dirigeants font souvent référence à Tashi Wangmo comme étant "la brillante carte de visite du Beijing Tibet H?tel", et de nombreuses personnes au Tibet savent qu'il y a un H?tel du Tibet à Beijing où se trouve une personne attentionnée qui est Tashi Wangmo.


En photo : Tashi Wangmo en visite.

Plus elle passe de temps à Beijing, plus elle a le sentiment que les épreuves connues dans la grande ville peuvent faire progresser rapidement une personne. Par conséquent, lorsque l'H?tel du Tibet recrute du personnel au Tibet, Tashi Wangmo se rendra personnellement dans les zones agricoles et pastorales pour sélectionner quelques jeunes issus de familles pauvres. "Ces enfants ont longtemps vécu dans un environnement plut?t fermé et sont très timides. Je veux les amener à voir le monde extérieur et à élargir leur horizon de connaissances." Au fil des ans, les jeunes Tibétains que Tashi Wangmo a recrutés deviennent peu à peu indépendants dans le travail et ont amélioré les conditions économiques de leurs familles. "Habituellement, je vais parler avec eux pour résoudre leurs problèmes ; lors des fêtes, je les inviterai à sortir pour d?ner et s'amuser, afin qu'ils sachent que dans cet endroit situé à des milliers de kilomètres de chez eux, il y a encore des gens pour s'occuper d'eux, afin qu'ils se sentent chaud au c?ur et renforcent leur force pour lutter pour une vie meilleure."


En photo : Tashi Wangmo participant à une activité de bénévolat.

D'une famille à une autre

En ao?t 2019, le Greeting H?tel de la région autonome du Tibet, situé à Lhassa, au Tibet, a été repris par le Beijing Tibet H?tel et Tashi Wangmo a été affectée au poste de directeur général exécutif. "Maintenant, j'habite à Lhassa et à Beijing. Malgré la fatigue, ?a me pla?t beaucoup. Parce que premièrement, je peux jouer sur mes points forts et utiliser mon expérience pour aider ma ville natale à faire quelque chose ; deuxièmement, je suis enfin de retour chez moi, et ce que j'ai désiré pendant toutes ces années est finalement devenu réalité." Pour Tashi Wangmo, qui travaille à Beijing depuis plus de 20 ans, "rentrer chez soi" a toujours été une idée fixe.


En photo : Tashi Wangmo.

"Maintenant pour moi, de Beijing à Lhassa, c'est d'une maison à l'autre, j'ai un amour pour les deux c?tés dont je ne peux pas me séparer, Lhassa est ma ville natale, Beijing l'est aussi." Baptisée par la civilisation moderne de la métropole, Tashi Wangmo développe maintenant la valeur de sa vie. Lhassa et Beijing sont pour elle des scènes qui lui permettent de mettre en valeur son talent, tout comme ses villes natales qu'elle aime énormément.

(Rédactrice : Claire SHENG)

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