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[Jours dans le nord du Tibet] Le thé au beurre et le vin d'orge chargés de l'hospitalité des Tibétains

Publié le 2022-04-27 à 20:43  |  China Tibet Online


Des jeunes de la zone spéciale de Shuanghu, dans la préfecture de Nagqu (aujourd'hui le comté de Shuanghu de la ville de Nagqu), trinquant au vin d'orge en l'honneur du leader vétéran Lozang Tamdrin, en visite dans la région. (Photo : Tang Zhaoming,le 25 juillet 2013)

Le thé au beurre est une nécessité dans la vie quotidienne des gens dans les prairies du nord du Tibet et même dans l'ensemble du Tibet. C'est une boisson indispensable pour les festivals, les célébrations et les rituels. Comme un poète l'a dit dans son poème : ? sans boire de thé au beurre, vous ne connaissez pas la douceur de la vie des Tibétains ; sans boire de vin d'orge, vous comprenez mal la chaleur de l'amour des Tibétains. ?

Le vin d'orge, appelé ? Qiang ? en tibétain, est connu sous le nom de ? bière tibétaine ?. Il est fabriqué à partir d'orge produite au Tibet et se caractérise par sa fra?cheur, son moelleux et sa douceur.


Une ouvrière de maintenance de la section 109 d'Amdo de la route Qinghai-Tibet versant du thé au beurre fra?chement battu dans la théière. (Photo : Tang Zhaoming, 1991)

Dans les prairies du nord du Tibet, quiconque rend visite à un habitant, ce dernier offre d'abord du thé au beurre à l'invité, l'invitantà boire un bol avant de procéder à l'échange de civilités et au sujet de la visite.

En 1987, j'étais seul en faisant de l'auto-stop pour pénétrer dans les zones inhabitées de plus de 200 000 kilomètres carrés dans le nord du Tibet, situées à une altitude moyenne de plus de 5 000 mètres, afin de trouver les pionniers de ces terres vierges. Durant plus de deux mois d'interviews dans ces ? zones interdites à la vie humaine ?, le thé au beurre m'a beaucoup rendu service car il n'a pas seulement humecté mes lèvres, mais a aussi amélioré ma capacité d'adaptation à l'environnement alpin et privé d'oxygène.


Des bergères du comté de Xainza de la préfecture de Nagqu(aujourd'hui la ville de Nagqu) trayant les yaks. (Photo : Tang Zhaoming, 2009)


Un berger su?ant du vin d'orge fra?chement brassé, dans le comté de Dingri, préfecture de Shigatsé (aujourd'hui la ville de Shigatsé). (Photo : Tang Zhaoming, 1988)

L'origine du vin d'orge remonte à l'époque de la princesse Wencheng de la dynastie des Tang, au 7e siècle de notre ère. La légende veut qu'elle se soit mariée de Chang'an, capitale des Tang, au Tubo, ancien régime local, et qu'elle ait transmis au Tibet les techniques de brassage avancées de la dynastie des Tang, de sorte que s'est progressivement formée la culture viticole tibétaine dont le vin d'orge est le vecteur.


Des bergers dans le canton de Gyatso, dans la zone spéciale de Shuanghu, préfecture de Nagqu, (aujourd'hui le comté de Shuanghu de la ville de Nagqu), fabriquant du beurre. (Photo : Tang Zhaoming, le 15 juillet 2001)

Les gens boivent lentement jusqu'à être à moitié ivres et chantent tranquillement comme s'ils rêvaient. Par conséquent, les réceptions s'éternisent toujours, commen?ant le matin et se terminant le soir, ou de l'après-midi jusqu'à minuit. Les gens préfèrent se réunir que se disperser.

Au cours de l'été 1987, j'ai bu d'innombrables bols de vin d'orge et de thé au beurre lorsque je me suis aventuré tout seul dans les zones inhabitées du nord du Tibet.

C'était par une nuit profonde qu'un jeune interprète tibétain du district de Nyima m'a accompagné chez Norbu Dradul, un homme d'affaires éleveur.

L'interprète a expliqué mon intention à l'homme d'age moyen de la maison, Norbu Dradul, qui, avec ses grandes mains, m'a ensuite serré la main fermement et m’a dit à plusieurs reprises dans un chinois pas très habile : "Tu travailles dur, tu travailles dur !" Et avec des yeux étonnés de me regarder couvert de boue, un journaliste de l'Agence de presse Xinhua tout comme un "mendiant", il s'est haté de demander à sa femme de verser du thé au beurre. Au bout d'une dizaine de minutes, j'ai vu mon h?te entrer dans la maison en portant un gros mouton abattu, avec lequel il voulait me divertir. Il a ensuite dépouillé et cuit la viande et nous a préparé du mouton, du boudin, du yaourt et de la tsampa sur un long foyer en terre dans lequel br?lent des bouses de mouton. Nous avons mangé et discuté autour des tasses de thé au beurre et des verres de vin d'orge. Ici, j'ai apprécié une hospitalité chaleureuse à la tibétaine.

Norbu Dradul m'a dit avec enthousiasme que le Parti et le gouvernement populaire se souciaient tellement des bergers dans le "no man's land" qu'ils avaient envoyé un journaliste de si loin chez lui pour une interview aujourd'hui. Il a dit : "Je me souviendrai toujours de la gentillesse du Parti !" En écoutant les paroles sincères de Norbu Dradul et en regardant son expression enthousiaste, je me suis senti fier d'être journaliste !

Il était tard dans la nuit et mon entretien était terminé. Lorsque nous nous sommes séparés, toute la famille accueillante de Norbu Dradul a de nouveau rempli mon bol de vin d'orge. Je n'ai pas hésité à boire trois grands bols pour remercier mes h?tes de leur hospitalité.

à l'époque contemporaine, pour évaluer les ?uvres littéraires et artistiques tibétaines, les gens ont créé un critère unique, à savoir "s'il y a le go?t du thé au beurre, et si le thé est fort ou non". Au cours des deux dernières années, alors que j'écrivais une centaine d'histoires illustrées sur le nord du Tibet pour le site China Tibet Online, j'ai également pris "s'il y a l'odeur du thé au beurre et la douceur du vin d'orge" comme norme pour mes propres écrits.

(Rédactrice : Claire SHENG)

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