Thubten Khedrup, membre du Comité national de la CCPPC : il faut aller à la base et écouter attentivement les voix du peuple
Depuis son élection en tant que membre du Comité régional du Tibet de la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC) en 1998, ce ? vieux membre ? a plus de 20 ans d'expérience dans l'exercice de ses fonctions. Il a soumis près de 200 propositions lors des sessions de la Conférence consultative politique la région autonome du Tibet et de la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC), qui couvrent plusieurs domaines. Chacune de ses propositions demande une recherche de terrain approfondie, et est le résultat d'une écoute attentive de la voix des masses.
? être membre du Comité national de la CCPPC est la chose la plus fière de ma vie. ? ? Si une bonne proposition peut être mise en ?uvre, c'est plus significatif que les discussions académiques générales.? De ce fait, il prépare et traite les propositions avec soin chaque année pour les ? Deux sessions ?.
? Mes propositions précédentes ont pratiquement été acceptées et mises en ?uvre. ? C'est la confiance de Thubten Khedrup. Au cours des deux dernières années, il a fait deux propositions importantes : la prise en compte des maladies liées à la haute altitude dans le système d'assurance maladie et la couverture complète de l'assurance médicale, et la protection du site douanier de Yadong au Tibet sous la dynastie des Qing et la construction de la base d'éducation patriotique, qui ont toutes deux été mises en ?uvre. Le contenu de ses propositions couvre une grande variété de domaines, dont l'écologie, le tourisme, l'économie, l'éducation, la culture, la médecine tibétaine.
Thubten Khedrup est tuteur de doctorat et professeur d'économie des minorités ethniques de Chine à l'Université du Tibet. Bien que son travail soit dans le domaine de l'économie régionale et du tourisme et de la culture, mais il veut s'occuper de tout. ? Tout le monde dit que j'en fais trop, mais c'est le devoir et la mission d'un membre du Comité national de la CCPPC. ?
Il a dit en souriant: ? Beaucoup de gens me demandent dans quelle spécialité je concentre mes travaux. A vrai dire, je ne sais pas comment parler de l'orientation de la recherche, parce que plus le pays se développe et plus les gens sont heureux, plus l'exigence sera élevée pour rédiger une thèse sur le terrain. Je dis donc : Je n'ai pas de direction de recherche professionnelle fixe ?. Si tu veux vraiment que je réponde en une phrase, alors le développement et le progrès du Tibet sont ma direction de recherche. ?
(Rédactrice : Claire SHENG)
