Nagqu au Tibet : plus de "villages sans arbres" et de "ménages sans arbres" en dessous de 4300 mètres d'altitude
L'administration de la région autonome du Tibet a tenu une conférence de presse à Lhassa le 5 novembre pour présenter la qualité de l'environnement écologique de la ville de Nagqu en 2021. Selon la conférence de presse, à partir de septembre 2021, Nagqu a terminé l'élimination des "villages sans arbres" et des "ménages sans arbres" en dessous de 4300 mètres d'altitude.
Le porte-parole a déclaré qu'au cours des dernières années, Nagqu a vigoureusement promu la construction de la civilisation écologique et la bataille de la prévention et du contr?le de la pollution pour assurer l'amélioration continue de la qualité de l'environnement écologique de la ville. Entre autres, Nagqu a continué à mener des actions de verdissement des terres, a achevé l'élimination des "villages sans arbres" et des "ménages sans arbres" situés à moins de 4300 mètres d'altitude, et a pleinement formé le modèle de priorité écologique et de développement vert.
La ville de Nagqu est située dans l'arrière-pays du plateau Qinghai-Tibet, avec une altitude moyenne de plus de 4500 mètres, une faible teneur en oxygène et un climat sec. La température la plus basse en hiver peut atteindre moins 40 degrés Celsius. L'environnement rude a formé un type de végétation dominé par la prairie du désert alpin. C'était autrefois la seule ville de niveau préfecture sans arbres de verdure en Chine.
En outre, selon la conférence de presse, pour réduire la "pollution blanche" le long des routes nationales et provinciales, des sites touristiques et des zones urbaines et rurales, la ville de Nagqu demande à toutes les entités commerciales d'interdire complètement la vente et l'utilisation de sacs d'emballage en plastique non dégradables, et de mobiliser les cadres et les personnes pour nettoyer les déchets blancs le long des routes importantes, des sites touristiques, des rivières, des paturages et autres déchets blancs chaque semaine, en se concentrant sur le contr?le de la "pollution blanche".
(Rédactrice : Claire SHENG)
