• <sup id="oooo0"></sup>
    • <nav id="oooo0"></nav>
    • <small id="oooo0"><menu id="oooo0"></menu></small>

      中文字幕在线精品播放,欧美mv亚洲mv天堂在线,97超碰国产精品无码,99精品全国在线观看,日产日韩亚洲欧美综合在线,亚洲中文字幕av无码爆乳

      Comment trouver les bouddhas vivants au Tibet ?

      Publié le 2019-01-24 à 15:24  |  China Tibet Online

      La réincarnation de bouddhas vivants est une manière de transmission propre au bouddhisme tibétain. Depuis la création de la réincarnation de bouddhas vivants par la lignée Kagyü au 13ème siècle, les autres courants l’ont successivement imitée. Au moment de la fondation de la République Populaire de Chine, il existait plus d’un millier de systèmes de la réincarnation de bouddhas vivants dans les différentes régions ethniques ayant le culte du bouddhisme tibétain, ce qui forme un gigantesque groupe de bouddhas vivants.

      Dans la première période du bouddhisme tibétain, les personnes ayant réussi aux études du bouddhisme et compris ses doctrines, capables de guider les autres à la conscience, étaient nommées les gurus (lama). De plus, ils étaient considérés comme des bouddhas dans le monde. Ainsi a été fondée la transmission du titre religieux comme chef religieux ou chef dans le temple par la recherche de l’incarnation du bouddha. La soi-disante incarnation du bouddha désignait les pratiquants du bouddhisme ayant accompli des exploits qui pouvaient se réincarner dans un nouveau corps après sa mort et rentrer au monde humain pour continuer à sauver les gens.

      L’origine et le développement de la réincarnation du bouddha vivant

      La réincarnation du bouddha vivant date du début du 13ème siècle. Avant, les différentes lignées du bouddhisme tibétain ont de différentes fa?ons d’hériter. Il s’agit de la transmission entre le ma?tre et le disciple comme ce fut le cas dans l’école Kadampa, origine de l’école Gelug ; il s’agit de la transmission du père au fils, comme ce fut le cas à l’école Sakya. Une minorité pratique la transmission en choisissant le compétent, comme ce fut le cas à Ganden Tripa et aux Khenpos du Gyuto et du Gyumey.

      Sous les dynasties Ming (1368-1644) et Qing (1636-1912), en raison de la canonisation de bouddhas vivants par l’autorité centrale, les différentes écoles du bouddhisme tibétain se sont précipitées de se servir de la transmission par la réincarnation des bouddhas vivants, ce qui devenait progressivement une coutume.

      La procédure de la réincarnation de bouddhas vivants

      D’après la procedure générale, il faut tout à bord déterminer la direction de la réincarnation, puis les moines éminents se rendent à de différents endroits pour chercher discrètement les enfants mystiques. Puis plusieurs enfants mystiques sont choisis. En fin un parmi eux est désigné comme enfant-incarnation. Il sera accueilli au monastère. Aura lieu ensuite la cérémonie d’intronisation. 

      Avant l’introduction du tirage au sort effectué à l’aide d’une urne d’or à la 57ème année sous le règne de Qianlong, l’enfant-incarnation a été déterminé de ces manières suivantes : premièrement, le tirage au sort. Au cas où plusieurs enfants mystiques ont été choisis, de différentes opinions s’opposent et il est difficile de faire un choix. L’enfant-incarnation sera déterminé à travers le tirage au sort. Deuxièmement, la désignation à travers la descente des dieux par le gardien des doctrines ; troisièmement, la divination pratiquée par des moines éminents. Quatrièmement, la désignation par le gouverneur de la société civile, par exemple, le sixième dalai-lama Tsangyang Gyatso a été désigné par le Sde Sanggyai Gyamco. Il s’agit des exceptions dans certaines conditions historiques. Cinquièmement, la désignation à l’issu d’un commun accord entre le gouverneur civil et le chef religieux. Les deux derniers cas exceptionnels montrent que le c?té mystique ou la simplicité de la réincarnation du bouddha vivant obéissent à la demande des gouverneurs.

      En 1792, le tirage au sort effectué à l’aide d’une urne d’or a été choisi comme le premier choix pour désigner l’enfant-incarnation de bouddhas vivants. Le système du tirage au sort établi par l’autorité centrale de la dynastie Qing était une réforme importante du système de la réincarnation de bouddhas vivants dans le bouddhisme tibétain. Il a un impact important sur la société d’alors et postérieure des tibétains et sur le bouddhisme tibétain.

      Le tirage au sort effectué à l’aide d’une urne d’or a déterminé la forme de choisir l’enfant-incarnation. C’est-à-dire d’après les rites religieux, les monastères concernés et le gouvernement local vont chercher l’enfant mystique. Les enfants mystiques seront sélectionnés par eux. Les situations mystiques des candidats finaux seront ensuite rapportées à l’empereur qui approuvera la procédure du tirage au sort effectué à l’aide d’une urne d’or. Après avoir re?u les approbations de l’empereur, l’ambassadeur du gouvernement impérial au Tibet présidera devant la statue de Sakyamuni le tirage au sort et déterminera l’enfant-incarnation. L’ambassadeur rendra compte de la décision à l’empereur et demandera sa désignation. Après l’approbation de l’empereur, des représentants du gouvernement central seront envoyés pour assister et présider la cérémonie d’intronisation.

      Aussit?t que le système du tirage au sort effectué à l’aide d’une urne d’or a été mis en place, il a été soutenu de fa?on sincère par les dala?-lamas, les Panchens Erdenis, les khutuktus et des moines. Aujourd’hui, le tirage au sort effectué à l’aide d’une urne d’or est devenu un règlement à respecter au niveau national et un rite religieux. Ce système est significatif pour la transmission et la prolongation du pouvoir religieux, le maintien de la stabilité et le développement au Tibet et l’assurance de l’autorité absolue du gouvernement central à propos de la réincarnation de bouddhas vivants.

      Le processus standardisé de sélection et de reconnaissance des Bouddhas Vivants de nos jours

      Le processus de sélection et de reconnaissance des Bouddhas Vivants a été standardisé en 2007 par un règlement publié par l'Administration d'Etat des Affaires Religieuses de la Chine, la ? Loi sur la gestion de la réincarnation des Bouddhas vivants du bouddhisme tibétain ?.

      Losang Dorje, né en 2005 dans la Préfecture de Lhoka, dans la Région Autonome du Tibet, a été choisi en juillet 2010 par tirage au sort dans une urne d’or au Monastère Jokhang de Lhassa, selon les rituels du bouddhisme tibétain et les conventions historiques. Il a été intronisé 6e Dezhub Jamyang Sherab Palden après avoir été reconnu par le Gouvernement Central et les autorités du Tibet.

      En Chine, quelque 1 000 Bouddhas Vivants suivent ce système de réincarnation. La réincarnation d'un Bouddha Vivant qui a une grande influence, comme le Panchen Lama, doit être confirmée et approuvée par le Gouvernement Central. Pour la réincarnation des Bouddhas Vivants qui ont moins d'influence, c'est l'Administration d'Etat pour les Affaires Religieuses qui sera consultée. Et quant à la réincarnation de ceux qui ont une influence mineure, elle n'aura besoin que d'être déclarée aux autorités de niveau provincial, selon Dulkar Tsering, de l'Université du Bouddhisme Tibétain.

      Aujourd'hui, le nombre des Bouddhas Vivants de grande influence se monte à 150 environ en Chine et le processus de déclaration au Gouvernement Central est identique à celui qui était en vigueur sous la Dynastie Qing, a précisé Li Decheng, directeur de l'Institut des Etudes Religieuses au Centre Chinois de Recherche en Tibétologie.

      La cérémonie de tirage au sort dans une urne d’or a régi la sélection des Bouddhas Vivants les plus influents, comme le Dalai Lama et le Panchen Lama. Cette mesure fut introduite sous la Dynastie Qing, afin d'éviter que les Bouddhas Vivants ne choisissent eux-mêmes leurs parents ou des proches pour successeurs, a dit M. Li.

      En poursuivant les coutumes historiques, tant l'autorité du Gouvernement Central que les traditions des Bouddhistes du Tibet sont respectées, a t-il ajouté.

      (Rédactrice : Lucie)

      中文字幕在线精品播放
      • <sup id="oooo0"></sup>
      • <nav id="oooo0"></nav>
      • <small id="oooo0"><menu id="oooo0"></menu></small>