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Qu'ont apporté les 60 ans de réforme démocratique aux femmes tibétaines ?

Publié le 2019-03-25 à 20:30  |  China Tibet Online

? Ma ville natale se situe dans la zone frontalière, où l’état du trafic et du développement économique est resté relativement en retard pendant longtemps. ? En parlant du développement depuis la réforme démocratique au Tibet au cours des 60 dernières années, Konchog Chozin a déclaré que le canton de Zari où elle se trouve avait de très mauvaises conditions de circulation.

Fin 2017, la construction d'une route nationale de haut niveau a été lancée. Il s’agit d’un projet d'une grande importance pour résoudre le problème des déplacements des populations frontalières, ainsi que le goulot d'étranglement du développement local.

En 2018, le village de Zari a commencé à mettre en ?uvre la construction de village aisé à la frontière, notamment en améliorant les conditions de vie des habitants, en améliorant les conditions des routes de villages voisins et en construisant une infrastructure touristique.

? Depuis 60 ans, le Tibet a émancipé non seulement les paysans serfs, mais aussi les femmes locales. Le statut social des femmes tibétaines contemporaines s’élève jour après jour, et en même temps, leur responsabilité civile devient de plus en plus importante. ? Bien que Konchog Chozin n’ait pu vivre entièrement les 60 ans de réforme démocratique tibétaine, elle peut savoir de la bouche de sa mère quelles étaient les conditions de vie des femmes dans les régions frontalières du Tibet.

Elle a déclaré : ? A l'époque de ma grand-mère, le statut social des femmes était très bas. Sans parler de l'éducation, même leurs conditions de vie de base étaient très pauvres : on ne mangeait pas à sa faim, on avait pas assez de vêtements chauds quand il faisait froid. Une fois, ma mère m'a affirmé que ma grand-mère était une serve. Quand ma grand-mère donnait naissance à ses enfants, elle était complètement dépourvue de garantie de vie, et était traitée de fa?on presque inhumaine. ? Sur ces propos, Konchog Chozin ne pouvait s'empêcher de verser des larmes.

C’est exactement pour cela que Konchog Chozin s’est dit chanceuse d'être une Tibétaine contemporaine. Elle a reconnu également qu'en tant que membre du Comité national de la CCPPC, elle avait la responsabilité de faire des efforts inlassables pour que les femmes tibétaines obtiennent davantage de droits et améliorent leurs conditions de vie.

(Rédactrice : Claire SHENG)

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