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Le 11 octobre, nous avons visité la rue Barkhor, dans la ville de Lhassa, dont la rue principale fait plus de mille mètres de long. Barkhor en tibétain signifie ? route de pèlerinage circulaire ?. Il y a 35 rues et ruelles dans tout le paté de maisons, s'étendant dans toutes les directions. Dans cette vieille rue avec plus de 1 300 ans d'histoire, des commer?ants de toutes ethnies du monde entier vivent les uns à c?té des autres. Bien qu'elle ait connu des changements historiques, l'apparence traditionnelle et le style de vie de l'ancienne ville sont encore relativement intacts.
Dans le cadre du projet de protection de la ville antique lancé ces dernières années, non seulement plus de 20 temples et plus de 50 batiments anciens, dont le temple de Jokhang, inscrit au patrimoine culturel mondial, ont été correctement protégés, mais des rénovations complètes ont également été effectuées sur les canalisations, les tuyaux, et les lignes électriques de la ville antique, rendant la vie des gens plus pratique.
Directement au sud du majestueux palais du Potala, une montagne verte lui fait face, de l'autre c?té de l'eau : il s'agit du parc Nanshan de Lhassa. En 2021, le projet de verdissement des montagnes du nord et du sud de Lhassa sera officiellement lancé. En 2022, le Tibet a officiellement publié le ? Plan directeur pour le projet de verdissement des montagnes du nord et du sud de Lhassa (2021-2030) ?. Selon le plan, il est prévu que d'ici 2030, le projet de verdissement dans les montagnes du nord et du sud de Lhassa aura complété le verdissement de 2,067 millions d'acres de forêt. La mise en ?uvre du projet a apporté d'énormes avantages écologiques en termes de conservation de l'eau, de conservation des sols et de l'eau, de fixation du carbone, de libération d'oxygène et de purification de l'air. Cela permet également aux citoyens de profiter de la vie habitable apportée par les améliorations écologiques.
Au n°10 de la route Zhaji, district de Chengguan, ville de Lhassa, se trouve le Centre de service de réadaptation du Tibet pour les personnes handicapées. Ce centre de réadaptation a été créé en septembre 1999 et il s'agit d'un bon exemple de la protection des droits et des intérêts de groupes spéciaux au Tibet. Sonam Dobje, directeur du département de réadaptation physique, a déclaré qu'en plus de la formation au lit debout, de la chaise de correction de posture et d'autres équipements de formation, la réadaptation physique nécessite également des mesures de soutien globales telles que l'hydrothérapie et les bains tibétains. La plupart des enfants atteints de paralysie cérébrale ont une tension musculaire élevée, et l'hydrothérapie peut aider à soulager la tension musculaire et à réduire la spasticité. ? C'est grace au projet national de sauvetage des groupes spéciaux. Non seulement les enfants qui viennent ici pour se faire soigner n'ont pas besoin de payer pour leur propre réadaptation, mais des subventions supplémentaires telles que le transport et l'hébergement seront fournies. Aujourd'hui, nous recevons jusqu'à 30 à 40 personnes chaque jour ?, a-t-il expliqué.
(Rédactrice : Estelle ZHAO)
