亚洲av无码码潮喷在线观看,亚洲一区无码内射不卡,а∨天堂在线手机版,久久人妻av中文系列

Visite d'un site de reproduction des grues à cou noir à Nagqu, au Tibet

Publié le 2023-11-02 à 09:18  |  China Tibet Online

La grue à cou noir est la seule parmi les quinze espèces de grues dans le monde à se reproduire et à passer l'hiver sur les hauts plateaux. Elle est classée comme une espèce sauvage sous protection nationale de premier niveau en Chine. Récemment, des journalistes se sont rendus dans le comté de Xainza, situé dans la ville de Nagqu, au Tibet, qui est un important site de reproduction de la grue à cou noir. Leur objectif est de couvrir la migration hivernale de cette ? elfe des hautes terres ?.

La grue à cou noir est largement présente au Tibet. Grace à l'amélioration continue de son habitat, la population de grue à cou noir ne cesse d'augmenter. Selon une enquête réalisée en 2020, la population estivale de grue à cou noir s'élèvait à 10 646 individus.

Le comté de Xainza est situé au coeur de la prairie de Changtang, où de vastes étendues herbeuses et de nombreux lacs offrent une abondance de nourriture et de sources d'eau pour les animaux sauvages tels que la grue à cou noir et l'antilope tibétaine. Chaque année, entre mars et avril, les grues à cou noir volent depuis leurs sites d'hivernage jusqu'à Xainza, à la recherche d'un marais idéal pour s'installer, fonder une famille et élever leurs jeunes. Avant l'arrivée de l'hiver, elles retournent à leurs sites d'hivernage et reviennent l'année suivante.

Tharchin est un garde des animaux sauvages du comté de Xainza qui s'engage dans la protection de la faune sauvage depuis 14 ans. Il déclare : ? Cette année, fin mars, les grues à cou noir sont arrivées chez nous, un peu plus t?t que les années précédentes. En juin, les gardes de notre région ont déjà découvert des nids de reproduction de grues à cou noir, et fin septembre, elles ont commencé à migrer vers des endroits plus chauds. ?

Au cours de la dernière décennie, Tharchin a joyeusement constaté les changements qui se sont produits ici. ? Auparavant, les animaux sauvages avaient une grande peur des humains. Ils n'apparaissaient pratiquement pas dans notre champ de vision, encore moins à proximité. Grace à ces années de protection, nous pouvons maintenant les observer à une distance d'environ 500 mètres. ?

Avec la poursuite des efforts de protection, les éleveurs ont également modifié leur mentalité. ? Comparé à il y a une dizaine d'années, aujourd'hui, de plus en plus d'éleveurs se joignent volontairement à nos gardes des aminaux sauvages. Depuis 2006, aucun incident impliquant des atteintes à la faune sauvage n'a été signalé dans le comté de Xainza ?, déclare fièrement Tharchin.

Grace à l'? escorte ? assurée par les gardes de la faune sauvage et à la mise en ?uvre de mesures renforcées de protection des grues à cou noir et de leur habitat au Tibet ces dernières années, la population de ces oiseaux a continué de cro?tre. à l'heure actuelle, la superficie totale de toutes les réserves naturelles au Tibet s'élève à 432 100 kilomètres carrés, représentant 35,94 % de la superficie totale de la région. Ces réserves offrent aux grues à cou noir les plus vastes et importants sites de vie, de reproduction et d'hivernage.

à la mi-octobre, les grues à cou noir du comté de Xainza ont entamé leur migration vers la vallée sur le cours moyen du fleuve Yarlung Zangbo, où elles passeront l'hiver. Elles y bénéficieront de la protection attentive des gardes locaux et s'adapteront à leur manière aux changements saisonniers.

En observant les grues s'envoler au loin, Tharchin exprime avec une légère mélancolie : ? J'espère qu'elles passeront un hiver en toute sécurité, je les attends ici et les accueillerai à nouveau l'année prochaine. ?

(Rédactrice : Estelle ZHAO)

    • <sup id="oooo0"></sup>
    • <nav id="oooo0"></nav>
    • <small id="oooo0"><menu id="oooo0"></menu></small>