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Les "efforts écologiques" sont payants pour les nouveaux frontaliers

Publié le 2020-11-04 à 15:15  |  China Tibet Online

Dans les villes frontalières de la ville de Sighasté, dans la région autonome du Tibet, les masses de tous les groupes ethniques sont toutes engagées dans la protection des eaux vertes et des montagnes du plateau enneigé dans la zone frontalière. Ils ont développé des industries caractéristiques et se sont engagés sur la voie de la prospérité par la protection écologique. 

En photo : les montagnes près du parc industriel écologique de Yadong, comté de Yadong, ville de Sighasté, région autonome du Tibet. 

Dans le parc industriel écologique de Yadong, situé dans le comté de Yadong, ville de Sighasté, région autonome du Tibet, l'"étang de nourrissage" pour le saumon utilise la source claire qui jaillit de la montagne de neige, et les eaux usées pour l'élevage du saumon doivent passer par des procédures de traitement strictes. "L'atout du développement du Tibet est la bonne écologie. Pour développer l'économie, nous devons protéger notre environnement." a dit du fond du c?ur Gonpo, le responsable dans le parc industriel écologique. On rapporte que le revenu mensuel des villageois qui travaillent ici n'est pas inférieur à 3000 yuans. 

La coopérative professionnelle d'éleveurs de yak Guyukedui de Galai, établie dans le village de Ke, dans le canton de Galai, dans le comté de Kangmar, dans la ville de Sighasté, permet aux masses d'amener leur bétail dans la coopérative pour réaliser un élevage centralisé, avec des dividendes payés selon les parts à la fin de l'année. Les prairies du village sont replantées et utilisées en rotation tous les cinq ans, et le bétail est élevé dans ou hors des cl?tures à tour de r?le, selon la classification. "Nous devons donner aux prairies suffisamment de temps pour qu'elles puissent se reposer et récupérer, afin que les yaks puissent toujours obtenir une meilleure nourriture", ont déclaré les villageois. 


En photo : le baton de carbone, un biocarburant fabriqué à partir de bouse de vache comme matière première principale.
 

En plus de "l'écologie + l'agriculture et l'élevage", il existe d'autres industries combinées au mode "écologique +". "Fumier de vache + paille = baton combustible" ? La bouse de vache est séchée sur le terrain à l'extérieur du batiment de l'usine. Une autre mesure de protection de l'environnement est née dans l'usine de traitement de batonnets de carbone pour biocarburants, dans le comté de Kangmar, à Shigatsé. Selon les rapports, ce type de batonnet de carbone pour biocarburant br?le sans fumée et sans odeur, avec une valeur de combustion de plus de 3000 kcal, ce qui non seulement réduit la pollution environnementale causée par le fumier dispersé de bovins et de moutons, mais permet également de réaliser un bénéfice de 920 yuans par tonne. 

En photo : les habitations du village de Renqinggang, du canton de Yadong, de la ville de Sighasté, de la région autonome du Tibet. 

Aujourd'hui, le statut de l'environnement écologique dans l'indice de bonheur de la vie des gens est constamment mis en évidence, et l'"écologique" profite grandement aux villages frontaliers.

(Rédactrice : Lucie ZHOU) 

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