Le nombre de lits d'h?pital dans les zones agricoles et pastorales du Tibet dépasse la moyenne nationale
Notre reporter a récemment appris de la Commission de la santé et de l'hygiène de la région autonome du Tibet qu'à la fin 2018, il y avait 8345 lits dans les établissements médicaux et sanitaires des zones agricoles et pastorales du Tibet, et que le nombre de lits dans les centres de santé des communes pour 1000 habitants des zones rurales était de 1,52. Cette valeur est supérieure à la moyenne nationale (1,43), en tête de la plupart des provinces et des régions du pays.
En 2019, dans le cadre d'une campagne de lutte contre la pauvreté par les soins de santé, le Tibet s'est concentré sur les maillons faibles de son système de services de santé, a basé ses actions sur la réalité et a strictement appliqué les normes de travail garanties pour les soins médicaux de base. En termes d'institutions médicales et sanitaires : il existe des institutions médicales et sanitaires dans 74 comtés (districts), 678 cantons et 5300 villages, qui disposent tous de salles, d'installations et d'équipements fonctionnels correspondants. L'étendue des services couvre toutes les divisions administratives de la région avec des normes de soins médicaux de base et des établissements médicaux et de santé garantis dans la région autonome.
En termes d'expertise médicale, à la fin de 2019, il y avait 9052 médecins agréés (assistants) dans l'ensemble de la région, soit une augmentation de 33,72% par rapport aux 6769 de 2016. Dans l'ensemble de la région, le programme "deux médecins dans un village" pour les cliniques de village est réalisé, et le nombre de médecins ruraux (assistants) agréés a atteint 265, ce qui répond aux exigences des médecins de village ayant une assurance médicale de base.
Liu Zhong, directeur du département de la santé de base de la commission de la santé et de la salubrité de la région autonome, a déclaré : "avec le standard de l'assurance médicale de base, nous avons essentiellement réalisé le programme où les installations, les médecins et les systèmes sont en place pour que les pauvres puissent voir des médecins dans toute la région".
(Rédactrice : Lucie ZHOU)
