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      Guangzhou réaffirme l'équité du traitement des étrangers

      Publié le 2020-04-14 à 13:05  |  China.org.cn

      Alors que des rapports dans les médias occidentaux prétendent que les Africains sont discriminés et mal traités à Guangzhou, ce qui est utilisé pour créer des problèmes entre la Chine et les pays d'Afrique, les autorités de la ville ont réaffirmé que les mesures mises en place pour dépister les cas potentiellement importés de COVID-19 étaient équitables pour les étrangers comme pour les citoyens chinois.

      Guangzhou, la capitale de la province méridionale chinoise de Guangdong, est un p?le international majeur de la partie continentale de la Chine, après Beijing et Shanghai. Depuis le mois de mars, la ville a renforcé sa gestion des arrivées internationales, que ce soit de citoyens chinois ou de ressortissants étrangers, face au nombre croissant de cas importés de nouveau coronavirus.

      Dimanche dernier, ce sont 119 cas importés et 13 cas domestiques causés par ces cas importés, qui ont été détectés à Guangzhou. Parmi eux, se trouvaient 25 étrangers. Tous les cas importés et les cas domestiques leur étant liés ont été découverts lors d'une procédure de dépistage réalisée par la ville, ont indiqué des officiels locaux lors d'une conférence de presse.

      Guangzhou a mis en place un dépistage des arrivées internationales depuis les zones principales affectées par la pandémie de COVID-19. Depuis le 5 avril, près de 4600 personnes en provenance de ces zones et leurs contacts proches ont été suivis et fait l'objet de tests d'acides nucléiques, a fait savoir le maire Wen Guohui.

      Guangzhou est le seul port commercial de Chine, qui est resté ouvert pendant 2000 ans, résultant en une composition large et complexe de résidents étrangers. D'après le maire, plus de 86000 étrangers vivaient à Guangzhou au 25 décembre 2019, dont 13652 ressortissants africains. Au 10 avril, près de 50000 résidents étrangers n'avaient toujours pas pu retourner à Guangzhou du fait de l'épidémie. La ville compte donc actuellement 30768 résidents étrangers, dont 4600 Sud-Coréens, 4553 Africains et 2987 Japonais.

      ? Les arrivants internationaux bénéficient d'un traitement équitable et doivent se conformer aux mêmes mesures de prévention et de contr?le épidémique que les résidents locaux ?, a souligné Wen Guohui, notant que la ville avait renforcé les services de santé pour les étrangers au cours de l'épidémie.

      Les remarques de Wen Guohui font suite aux rapports de médias internationaux, qui se sont répandus comme une tra?née de poudre au cours du week-end dernier, prétendant que les Africains à Guangzhou étaient expulsés de leur logement par leurs propriétaires et refusés dans les h?tels.

      Selon les analystes chinois, ces allégations rapportées dans la presse attisent une controverse de longue date concernant les Africains à Guangzhou. Ils ont enjoint les gouvernements locaux à être plus transparents et à répondre rapidement à ces allégations, afin d'éviter que cette question ne soit utilisée par l'Occident pour nuire aux relations sino-africaines.

      D'après Kingswill Oba, un Nigérian vivant à Guangzhou, certains africains résidant à Guangzhou peuvent ne pas accepter les mesures strictes de quarantaine imposées par les autorités locales, mais ces mesures sont importantes car elles sont liées à la santé et à la sécurité personnelle de tous les résidents étrangers et chinois.

      ? La bonne santé est une richesse [et] nous devons obéir aux règles de quarantaine. Celles-ci me conviennent, car je me soucie de ma santé et de ma vie. [Grace à elles], la Chine est parvenue à enrayer la propagation du virus ?, note-t-il.

      Lors d'une conférence de presse organisée dimanche dernier, Yang Rihua, le directeur général adjoint du Département provincial de sécurité publique du Guangdong, a précisé que l'ensemble des étrangers de la province devaient accepter les mesures, incluant les contr?les, les tests et les mises en quarantaine.

      ? Les contrevenants seront sanctionnés, avertis, arrêtés ou expulsés en accord avec le droit chinois ?, a-t-il souligné.

      Le piège occidental

      Les officiels de pays africains, incluant le Nigéria, le Ghana et le Kenya, ont convoqué les ambassadeurs chinois de leurs pays respectifs, se plaignant de ces mauvais traitements présumés.

      Le Président de la Chambre des Représentants du Nigéria, Femi Gbajabiamila, a déclaré samedi dernier sur Tweeter avoir montré une vidéo de ces soi-disant ? mauvais traitements ? de citoyens nigérians par les autorités chinoises à l'ambassadeur de Chine au Nigéria, Zhou Pingjian. Il a exigé de la partie chinoise qu'elle mène une enquête et réagisse.

      Dimanche, l'ambassade de Chine au Nigéria a publié un communiqué, indiquant que Zhou Pingjian avait clarifié lors d'une rencontre avec M. Gbajabiamila, que les autorités chinoises dans la vidéo n'avaient pas commis de faute. L'ambassadeur a réaffirmé que la Chine ? traite tous les citoyens étrangers de fa?on équitable ?. ? Nous rejetons les différences de traitement et menons une [politique de] tolérance zéro envers les discriminations ?, a-t-il insisté.

      Ce communiqué a appelé à la compréhension mutuelle, ainsi qu'au soutien et à la coopération dans la prévention épidémique. Il a cependant noté que les étrangers devaient se conformer rigoureusement aux règles locales.

      Li Haidong, un professeur de l'Institut des relations internationales affilié à l'Université des affaires étrangères de Chine à Beijing, a déclaré dimanche dernier que l'épidémie n'était pas aussi grave sur le continent africain qu'en Chine. Pour cette raison, il estime que de nombreux nouveaux arrivants africains ont du mal à accepter les mesures strictes de la Chine.

      ? La Chine ne changera pas sa position constante de soutien envers l'Afrique dans la pandémie. Néanmoins, les politiciens et les diplomates de certains pays africains ne devraient pas tomber dans ce piège posé par l'Occident et accuser injustement la Chine. Cela risquerait de nuire à ses véritables amis et de favoriser les fauteurs de troubles ?, note-t-il.

      D'après les analystes, ces accusations ne parviendront pas à avoir l'effet escompté, car les relations sino-africaines sont basées sur une coopération approfondie et la confiance mutuelle.

      Cas importés

      Selon un entrepreneur nigérian vivant à Guangzhou et souhaitant rester anonyme, les autorités du Guangzhou ont lancé une campagne de dépistage au porte-à-porte dans les communautés africaines de la ville, après que des rapports ont fait état d'infractions des règles locales de contr?le épidémique par certains Africains.

      Le 1er avril, un Nigérian, dont l'infection au COVID-19 a été confirmée à son arrivée, a agressé les travailleurs médicaux locaux et refusé de recevoir un traitement. Par ailleurs, cinq autres Nigérians ont été contr?lés positifs au virus lors d'un dépistage, mais il s'est avéré que quatre d'entre eux s'étaient par la suite rendus à plusieurs reprises dans des restaurants locaux.

      ? Nous, nous avons été placés en isolement, dépistés et nous avons re?us une carte [de santé] avant de pouvoir circuler, [...] mais certaines personnes qui arrivent veulent aller n'importe où sans avoir été testés. Ce n'est pas bon pour les personnes qui sont déjà ici ?, indique l'entrepreneur nigérian, qui explique être resté chez lui un mois et deux semaines.

      Selon lui, personne ne l'a expulsé de son logement et personne n'a refusé de le laisser entrer. ? Il faut suivre les règles et les choses seront plus simples ?, conclut-il.

      (Rédactrice : Claire SHENG)

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