Le 14 mars, la deuxième division du corps de la police armée au Tibet a fourni des services médicaux de proximité devant le temple Jokhang à Lhassa.
Le 14 mars, devant le service médical de proximité devant le temple Jokhang à Lhassa, Jiang Mingwei, médecin militaire du deuxième détachement du corps de police armé du Tibet, est assis devant une vieille grand-mère tibétaine. Ensuite, il sort son stéthoscope et son tensiomètre pour mesurer sa tension artérielle.
Le 14 mars, une vieille grand-mère tibétaine se renseigne devant un service médical devant le monastère de Jokhang à Lhassa.
Après un examen minutieux, Jiang Mingwei dit à la vieille grand-mère qu'elle n’a pas de problème sérieux. Ensuite, il prend une bo?te de médicaments antihypertenseurs et les lui donne gratuitement. Après avoir confirmé que la vieille grand-mère connaissait déjà les précautions à prendre pour prendre le médicament, Jiang Mingwei s'est levé et lui a dit au revoir. ? Agudu, agudu ! ? (ce qui en tibétain signifie ? très bien ?) a dit la vieille grand-mère pour le remercier, en s'éloignant d'un pas tremblant.
Au pied du palais du Potala, dans le parc Zongjiao Lukang, un point de service médical de proximité similaire a été mis sur pied. Cette fois, les médecins ciblent les maladies communes sur le plateau telles que les rhumatismes et l'hypertension artérielle, apportant avec eux des médicaments d'une valeur supérieure à 70 000 yuans (environs 9 000 euros).
Wang Desi, un responsable de la communication à l'h?pital général de la zone militaire du Tibet, a déclaré que depuis mars 4 cliniques similaires ont été organisés. Plus de 70 types de médicamment couramment utilisés d’une valeur supérieure à 100 000 yuans (environs 13 000 euros) ont été donnés à titre gratuit.
En plus de Lhassa, les 954e, 955e et 956e h?pitaux de l'Armée populaire de Libération, sous la direction de l'h?pital général de la zone militaire du Tibet, ont également mené des activités de cliniques gratuites à Shannan, Qamdo et Nyingchi.
(Rédactrice : Claire SHENG)