A l’approche du Nouvel An tibétain, le Jingfanshu (un poteau décoré de drapeaux de prières colorés) devient un objet très prisé des locaux.
Chaque foyer tibétain mettra donc plusieurs Jingfanshu sur leur toit après le premier janvier du calendrier tibétain, afin de prier pour la chance et de bonnes récoltes dans l’année qui commence.
Une nouvelle rangée de Jingfanshu colorés flottent dans le vent.
Chaque année à partir du décembre, les Tibétains s’affairent à coudre les Jingfanshu.
Un habitant du village de Tunba, du comté de Nimu, coud un Jingfanshu dans un espace ouvert de la banlieue est de Lhassa.
Un habitant du village de Tunba, du comté de Nimu, coud un Jingfanshu dans un espace ouvert de la banlieue est de Lhassa.
Un habitant du village de Tunba, du comté de Nimu, coud un Jingfanshu dans un espace ouvert de la banlieue est de Lhassa.
Un habitant du village de Tunba, du comté de Nimu, coud un Jingfanshu dans un espace ouvert de la banlieue est de Lhassa.
Un habitant du village de Tunba, du comté de Nimu, coud un Jingfanshu dans un espace ouvert de la banlieue est de Lhassa.
Un Jingfanshu achevé.
L'ordre des cinq couleurs sur un Jingfanshu est fixe. De haut en bas : bleu, blanc, rouge, vert et jaune, correspondant respectivement aux cinq éléments que sont le ciel, les nuages, les flammes, les rivières et la terre.
(Rédactrice : Claire SHENG)