亚洲av无码码潮喷在线观看,亚洲一区无码内射不卡,а∨天堂在线手机版,久久人妻av中文系列

En se rappelant le Tibet des années 1980, plusieurs souvenirs de mon père sont amers. Mon père m'a dit que maintenant à Lhassa, on peut manger tout ce que l’on veut manger, on peut acheter n'importe quel plat. Il est difficile d'imaginer la vie à cette époque-là. ? Quand je suis arrivé au Tibet, il n'y avait presque pas de légumes frais. La principale source de nutrition était la grande variété de légumes en conserves. ? En 1984, mon père, qui était alors agé de 19 ans, a suivi sa famille et a déménagé du Shanxi à Lhassa. Il vivait à l’époque dans l’unité automobile numéro 2 de la ? route du ciel ?. à cette époque, l'approvisionnement en fruits et légumes était très difficile au Tibet. Toutes sortes de conserves étaient distribuées au personnel de l'unité, ou ceux-ci achetaient des légumes faciles à cultiver, tels que pommes de terre, radis, etc., pour répondre aux besoins quotidiens de la vie.

Dans les années 90, avec le développement rapide de l’économie de Lhassa, les denrées alimentaires deviennent plus abondantes, toutes sortes de poissons, fruits et légumes frais ont commencé à appara?tre dans les marchés. De nombreuses familles ont commencé à en acheter. En plus d'une variété de plats chinois, des aliments étrangers tels que la nourriture coréenne ont également émergé. On peut maintenant manger toutes sortes de plats sans sortir de la région. En marchant dans les rues de Lhassa, on peut voir partout toutes sortes de restaurants pour tous les go?ts. Et cela n'a pris que quelques années.

Après être entré dans le 21e siècle, la variété de légumes que le public peut maintenant choisir a augmenté de quelques dizaines de fois ou plus. Ce sont des manifestations vives du renforcement de la culture locale des légumes. Par exemple, les serres de banlieue cultivent principalement des légumes tels que le colza. Le taux d’autosuffisance en légumes à Lhassa a également atteint plus de 60%. Durant certaines saisons comme l’automne et l’hiver, on ne peut pas cultiver de légumes à Lhassa. Mais grace à un système de transport moderne parfait et rapide, ce n'est plus un problème maintenant.

Depuis la réforme et l'ouverture, le ? panier alimentaire ? des citoyens de Lhassa devient de plus en plus abondant. Ils ont passé de ? manger à sa faim ? à ? bien manger ?, jusqu’à ? manger des aliments sains ?. En quelques dizaines d'années, les aliments sur les tables ont bien changé, ce qui reflète l'amélioration continue de la qualité de vie des habitants de Lhassa. à cette époque, une famille qui est réunie autour d’une table couverte de plats chauds dans une atmosphère de rire et de joie : voilà notre bonheur le plus simple et le plus pratique.

( Rédacteur : Samuel )