Avant la libération pacifique du Tibet, il n'y avait pas d'institutions médicales et sanitaires modernes au Tibet. On n'y trouvait que trois h?pitaux publics de petite envergure et médiocrement équipés, ainsi qu'un petit nombre de dispensaires privées, avec un personnnel de moins de cent emplyés au total. S'il s'ajoutaient à ces derniers 300 pratiquants de la médecine tibétaine, la moyenne dans l'ensemble du Tibet n'atteignait pas 0,4 travailleur médical par mille habitants.
Dès 1959, le gouvernement chinois a pris de nombreuses mesures pour prévenir les maladies, de manière à contr?ler pratiquement les maladies qui nuisaient gravement à la santé du peuple. Aujourd'hui, le Tibet est le premier dans le pays à courir toutes ses populations urbaines et rurales par son système d'assurance-maladie, et il a mis sur pied un réseau de soin médicaux dans les régons agricoles et d'élévage, avec la gratuité des soins comme la base.