En photo : des citoyens jouent aux dés tibétains à la maison.
Le 25 février dernier est le deuxième jour du Nouvel An du calendrier tibétain. La coutume veut qu'à partir de ce jour, tous les Tibétains revêtent leur costume de fête, font des visites, s'échangent des v?ux et des khatas. Cette année par contre, en réponse à l'appel de la prévention et de la lutte contre l'épidémie, les citoyens ont tous choisi de rester chez eux pendant la fête. Au lieu de sortir, ils choisissent d'envoyer à leurs proches et amis des paroles de souhaits par appel, message ou via WeChat.
En photo : les membres d'une famille s'offrent le ? Drosok Chema ? (une bo?te de bon augure).
Yangra, une citoyenne de Lhassa, déclare qu'auparavent pendant le Nouvel an tibétain, on rendait visite aux parents tous les jours et qu'il est rare de réunir tous les membres de sa propre famille. ? Nous nous sommes bien préparés pour le Nouvel An cette année. Je m'apprête à cuisiner une variété de plats chaque jour pour ma famille. Leur sourire me fait vraiment plaisir. ? en rit Yangra, offrant au même moment un verre à son mari qui est en train de jouer aux dés. ? Oui, ?a consomme pas mal d'énergie, mais je me sens heureuse au fond de mon c?ur. ? poursuit-elle.
En photo : des citoyens jouent au bras de fer pendant le Nouvel An tibétain.
En photo : un membre de la famille joue de la guitare tibétaine et chante pour exprimer ses v?ux à sa famille.
(Rédactrice : Claire SHENG)