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      Une torche qui ne s’éteint pas en souvenir du 10ème Panchen Rinpoché

      Publié le 2019-01-29 à 10:26  |  China Tibet Online

      Le 10ème panchen-lama Choekyi Gyaltsen.

      Le 10ème panchen-lama est une fierté pour le peuple tibétain et le grand Rinpoché est admiré de tous les Tibétains.

      J'étudiais les cinq ?uvres majeures dans le monastère et ne connaissais pas grand-chose à l'Histoire. Et pourtant, l'histoire du 10ème panchen Rinpoché m’était passablement familière, et je le respectais et admirais du plus profond de mon c?ur. En septembre 2015, j’ai débarqué à l’Institut supérieur du bouddhisme tibétain de Chine, fondé sur proposition du 10ème panchen Rinpoché. Disons donc que la compassion, l'illumination et la pensée à long terme de Rinpoché m'ont inspiré à étudier dans cet établissement.

      Rinpoché a un jour déclaré que s’il n'y a pas de monastères dans un lieu, on peut en construire. Mais s'il n'y a pas de culture, il n'y a aucun moyen de la rétablir. La chose la plus importante pour une nation est la culture. Rinpoché s'est rendu dans des régions rurales tibétaines démunies au Tibet, et y a souligné à plusieurs reprises que le développement rural ne reposait pas sur la construction de monastères, ni sur  le simple fait de fournir de l’aide, mais sur l’éducation des enfants, notamment quant à la culture nationale. Il a également souligné qu’une nation dépourvue de sa propre culture et de ses caractéristiques nationales dispara?trait lentement, tandis que même si une nation détient une petite population et un petit territoire, elle continuera à exister tant qu'elle protège sa propre culture et ses caractéristiques.

      Le batiment Yangguang (soleil) de l’Institut supérieur du bouddhisme tibétain de Chine.

      Je me suis souvenu de la situation lorsque je suis venu pour la première fois étudier dans cette école. à l'époque, je ne pouvais prononcer un mot en chinois. C'était d’ailleurs la première fois que je sortais du monastère. J'étais très peu habitué au début, surtout quand je sortais le week-end pour faire mes courses avec des camarades de classe, puisque parler en chinois m’était vraiment laborieux. Heureusement pour moi, je me suis rappelé alors l’histoire du 10ème panchen-lama. Son niveau de chinois est très élevé, et ses articles écrits en chinois sont également de très bonne qualité. J'ai entendu dire que Rinpoché avait appris le chinois à l’aide d’un dictionnaire Xinhua (une référence de la langue chinoise), c’est pourquoi je me suis acheté le même dictionnaire et l’étudie jour et nuit.

      Les dipl?més de la 14ème promotion de la secte Gelug de l’Institut supérieur du bouddhisme tibétain de Chine. Le troisième à droite de la dernière rangée est l'auteur de cet article.

      Pendant mes trois années d'études dans cette école, mes professeurs étaient des prêtres célèbres et compétents, originaires du Tibet et des régions tibétaines du Sichuan. Des professeurs d'universités renommées de Pékin sont également venus à l’institut pour nous enseigner la politique, l’histoire, l’informatique, etc. L’école a également organisé des visites et des échanges d'études dans différents monastères et musées de Pékin et d’ailleurs, sans oublier des échanges avec des ma?tres bouddhistes à Hong Kong.

      Pendant mes études, l'hébergement, l’alimentation ainsi que les frais de transport étaient entièrement assurés par mon école. Si je me sentais mal, l’école prenait immédiatement les dispositions nécessaires pour m’emmener effectuer un examen et suivre un traitement à l'h?pital.... Tout cela peut être considéré comme le soutien de l'Etat au bouddhisme tibétain, et comme un rappel du fait qu’à l’origine le 10ème panchen-lama est révéré en tant que chef de la communauté bouddhiste tibétaine.

      En plus des Tibétains qu’il aimait tant, le 10e Panchen Lama a toujours mis l'accent sur l'unité entre les différents groupes ethniques. Il a dit qu’il n'y aurait que la douleur et aucun bonheur dans une famille si celle-ci n’était pas unie. S'il n'y a pas d'unité entre les villages, il y aura s?rement des contradictions qui freineront le développement de la campagne. De même, s'il n'y a pas d'unité entre les ethnies, le pays ne se développera pas et ne progressera pas. Il a ajouté que les membres d’une même famille ont une responsabilité, et c’est également le cas pour chaque moine d’un même monastère. Quant à un pays, tous les compatriotes ont leurs responsabilités, ils doivent donc se conformer aux politiques et aux lois de l’Etat. Ces paroles du Rinpoché se sont largement répandues dans le comté de Chengduo, ma ville natale, dans la préfecture autonome tibétaine de Yushu au Qinghai.

      Lorsque le 10e Panchen a été envoyé dans divers monastères du Qinghai pour prêcher, il a un jour dit que notre époque était une nouvelle ère de développement rapide de la science et de la culture. Les disciples bouddhistes doivent non seulement ma?triser une riche connaissance bouddhiste, mais aussi avoir des connaissances scientifiques. La société se développe, la civilisation humaine ne cesse de s'améliorer et le bouddhisme tibétain a également mis en avant de nouvelles exigences en accord avec l'évolution des temps. Le 10ème panchen Rinpoché est mort il y a 30 ans, mais ses enseignements portent toujours une morale forte pour tous les disciples bouddhistes.

      Auteur : Riba, dipl?mé de Tuoranba (un dipl?me supérieur) de la 14ème promotion de l’Institut supérieur du bouddhisme tibétain de Chine. Actuellement moine au monastère de Saikang, dans la préfecture de Yushu, au Qinghai.

      (Rédactrice: Claire SHENG)
       

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