亚洲av无码码潮喷在线观看,亚洲一区无码内射不卡,а∨天堂在线手机版,久久人妻av中文系列

Les vaccins chinois contre le COVID-19 gagnent en reconnaissance internationale

Publié le 2021-01-19 à 11:05  |  China.org.cn

Au moins 20 pays ont déjà passé des commandes, passant outre les critiques de certains médias étrangers

Une vidéo du président serbe Aleksandar Vucic présent sur le tarmac face à un vent glacial pour assister à l'arrivée de vaccins contre le COVID-19 est devenue virale sur les réseaux sociaux chinois au cours du week-end, touchant des millions d'internautes chinois qui ont applaudi le fort soutien de M. Vucic aux vaccins chinois, ce qui est d'une grande importance face aux vives critiques de certains médias étrangers.

? Je me suis rendu à l'aéroport non seulement pour recevoir des vaccins de haute qualité, mais aussi pour démontrer l'amitié entre la Chine et la Serbie ?, a affirmé M. Vucic samedi dans une vidéo publiée par le Quotidien du Peuple sur Sina Weibo, le Twitter chinois.

Le président serbe a tenu ces propos samedi à l'aéroport international Nikola Tesla de Belgrade, capitale de la Serbie, lors de la réception du premier lot d'un million de doses de vaccins contre le COVID-19 produits par la société pharmaceutique chinoise Sinopharm, en compagnie de responsables locaux et de l'ambassadeur de Chine en Serbie Chen Bo.

Ce lot est la première arrivée à grande échelle des huit millions de vaccins achetés par la Serbie à trois producteurs différents.

La Serbie a également acheté le vaccin russe Sputnik V ainsi qu'un vaccin développé conjointement par le laboratoire américain Pfizer et l'allemand BioNTech. Le pays prévoit de vacciner 80% de sa population de sept millions d'habitants, selon l'agence de presse Xinhua.

Dans une apparente démonstration de confiance dans les vaccins chinois, le président serbe a déclaré qu'il se ferait vacciner avec le vaccin de Sinopharm, a rapporté Xinhua.

M. Vucic n'est pas le seul président ou haut responsable étranger à avoir confiance dans les vaccins chinois. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a re?u jeudi sa première dose de CoronaVac, produite par le chinois Sinovac. La Turquie a lancé jeudi sa campagne de vaccination massive à l'aide de CoronaVac après que les autorités ont approuvé l'utilisation d'urgence du vaccin chinois, toujours selon Xinhua.

Au moins 20 pays ont acheté des vaccins contre le COVID-19 développés par des fabricants chinois, dont Sinovac, Sinopharm et Cansino, selon les calculs du Global Times. Encore d'autres pays prévoient d'acheter des vaccins chinois malgré l'examen approfondi de nombreux médias étrangers sur leur efficacité et leur sécurité.

La Chine a promis de fournir ses vaccins en tant que bien public mondial pour soutenir la reprise mondiale de la pandémie, et a également révélé à certaines occasions qu'elle ferait don de vaccins à certains pays.

Samedi, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a conclu une visite de six jours en Asie du Sud-Est, au cours de laquelle il a déclaré que la Chine avait décidé de faire don d'un lot de vaccins contre le COVID-19 au Myanmar et aux Philippines, continuant de les aider à lutter contre le nouveau coronavirus, selon Xinhua.

Renforcer la confiance

Le vice-président turc Fuat Oktay a re?u samedi sa première dose de CoronaVac à l'H?pital de la ville d'Ankara, devenant ainsi le dernier haut responsable turc à recevoir une dose de vaccin chinois, ont rapporté des médias locaux.

Auparavant, le ministre turc de la Santé, Fahrettin Koca, avait re?u mercredi sa première dose de CoronaVac en direct à la télévision, devenant ainsi le premier en Turquie à recevoir le vaccin contre le COVID-19.

Plus de 675 000 travailleurs de la santé turcs ont re?u le vaccin contre le COVID-19 mis au point par le chinois Sinovac au cours des trois premiers jours du programme de vaccination du pays, a rapporté samedi Xinhua, citant le ministère turc de la Santé.

L'Indonésie et la Malaisie ont également commandé des vaccins de Sinovac – 125,5 millions et 14 millions de doses respectivement. La Tha?lande et les Philippines devraient elles recevoir des millions de doses de la Chine dans les mois à venir, selon Xinhua.

L'ambassadeur d'Indonésie en Chine, Djauhari Oratmangun, a déclaré jeudi dans une interview exclusive avec le Global Times que l'Indonésie avait déjà commencé des vaccinations de masse mercredi, grace à une solide collaboration avec la Chine.

Il a exprimé sa confiance dans le vaccin chinois, notant que le vaccin de Sinovac avait re?u une licence des autorités indonésiennes après évaluation scientifique et technique.

? La confiance de l'Indonésie dans le vaccin de Sinovac se reflète dans le fait que (le président Joko) Widodo a été le premier à recevoir le vaccin. Nous partageons les sentiments du président Widodo ?, a affirmé l'ambassadeur.

Un long chemin à parcourir

Dans un reportage de la BBC diffusé vendredi, lorsque le journaliste a demandé à un médecin turc s'il s'inquiétait de l'efficacité du vaccin, la réponse a été un ? non ? sans équivoque. Le médecin local a également noté que les essais cliniques du vaccin en Turquie avaient montré une efficacité de plus de 90%.

Le médecin a admis dans le reportage qu'un certain niveau de méfiance existait dans le monde à l'égard des vaccins chinois, reflétant peut-être l'image des produits chinois aux yeux de la plupart des gens. ? Malheureusement, c'est vrai ?, a déploré un initié de l'industrie du vaccin chinoise contacté par le Global Times.

La pandémie a placé les vaccins chinois sous l'examen d'experts au niveau mondial. Le grand nombre d'achats à l'étranger a cependant renforcé la confiance dans ces vaccins. Mais des initiés ont noté qu'il y avait encore un long chemin à parcourir pour explorer le marché international, en particulier compte tenu de ce qu’ils qualifient de ? politisation continue ? des vaccins face à la pandémie de COVID-19.

La pandémie de COVID-19 est une excellente opportunité pour les producteurs de vaccins chinois, mais le défi reste énorme, a noté l'initié.

Les producteurs chinois de vaccins se concentraient principalement sur le marché intérieur avant la pandémie de COVID-19, et la plupart d'entre eux exportent à peine leurs produits car le marché intérieur est assez grand, a indiqué dimanche un expert en vaccins basé à Changchun, dans la province du Jilin (nord-est), sous couvert d'anonymat.

Le marché international des vaccins a été principalement dominé par les quatre grandes sociétés pharmaceutiques mondiales, à savoir Pfizer, Merck, GSK et Sanofi, il y a donc peu d'incitation ou d'espace de marché pour encourager les entreprises chinoises à se diversifier.

Les quatre grands laboratoires occupent environ 90% du marché international des vaccins, selon un rapport publié par Guangfa Securities en mars 2020.

? Mais je peux dire que les vaccins chinois n'ont aucun problème ?, a affirmé l'expert anonyme, soulignant qu'il faudra du temps pour se faire une réputation sur le marché international. Les entreprises chinoises peuvent traiter la pandémie de COVID-19 comme une opportunité d'accro?tre progressivement la coopération internationale.

Les ? critiques ? des médias étrangers, en particulier après que les autorités brésiliennes ont révélé un taux d'efficacité de 50,4% dans les essais de stade avancé du CoronaVac, sont également un obstacle énorme qui empêche de nombreuses personnes à l'étranger de voir les vaccins chinois de manière objective et scientifique, ont avancé des observateurs chinois.

? Tout en soulevant des doutes concernant les données de stade avancé du CoronaVac, les principaux médias anglophones ont peu mentionné le décès de 23 personnes agées en Norvège après qu'elles ont été vaccinées avec le vaccin de Pfizer, comme si ces médias étaient déjà parvenus à un consensus pour minimiser l'incident ?, ont prétendu ces observateurs.

Yang Xiaoming, PDG de China National Biotec Group (CNBG), filiale du principal producteur chinois de vaccins Sinopharm, avait précédemment déclaré que CNBG n'avait jamais mené d'essais cliniques internationaux de phase 3 à une telle échelle en coopération avec autant de pays auparavant.

CNBG mène des essais cliniques de phase 3 sur deux de ses vaccins inactivés contre le COVID-19 dans 10 pays, couvrant plus de 50 000 volontaires, selon M. Yang.

? Nous avons rencontré de nombreuses difficultés dans la communication et la compréhension des cultures et des politiques locales ?, a noté M. Yang, ajoutant que la solution à ces difficultés n'était rien d'autre que la communication.

L'expert anonyme a suggéré que les sociétés de vaccins chinoises essayent de coopérer avec des pays étrangers à l'avenir, comme les états-Unis et l'UE. Il serait plus facile pour le monde d'accepter les vaccins chinois s'ils obtenaient des certificats venant des autorités de ces pays.

(Rédactrice : Claire SHENG)

    • <sup id="oooo0"></sup>
    • <nav id="oooo0"></nav>
    • <small id="oooo0"><menu id="oooo0"></menu></small>