亚洲av无码码潮喷在线观看,亚洲一区无码内射不卡,а∨天堂在线手机版,久久人妻av中文系列

Elevage de poulets tibétains, piste menant à la prospérité pour la famille de Tamdrin

Publié le 2020-08-31 à 20:57  |  China Tibet Online


En photo : la nouvelle maison de la famille de Tamdrin.

Le long de la route menant à la coopérative professionnelle d'agriculteurs et d'éleveurs d'élevage de poulets tibétains Congling de Gyamu de Naiqung, située dans le district de Doilungdêqên, à Lhassa, les beaux paysages s'étendent à l'infini. Dans la coopérative, on trouve une grande foule de poulets tibétains robustes dans une cour ouverte. Certains d'entre eux courent dans la foulée, d'autres se nourrissent tranquillement. La coopérative présente une scène vivante.


En photo : la coopérative professionnelle d'élevage de poulets tibétains Congling de Gyamu de Naiqung, située dans le village de Gyamu.

? Vu que la vie des masses continue de s'améliorer, les produits écologiques sont de plus en plus prisés par le monde. La demande de nos ?ufs tibétains dépasse notre offre. Ces dernières années, l'élevage des poulets tibétains et la vente des ?ufs m'ont non seulement permis de rembourser la dette de 450 000 yuans (55 000 euros) pour la création de la coopérative, mais aussi de pouvoir acheter une nouvelle voiture. Actuellement, il y a 3 poulaillers dans ma coopérative. Pour la prochaine étape, j'envisage d'agrandir les poulaillers en 5 et de cimenter le chemin de terre vers la coopérative. ? prétend joyeusement Tamdrin, fondatrice de la coopérative d'élevage de poulets tibétains Congling de Gyamu de Naiqung, dans le district de Doilungdêqên.


En photo : l'ancienne maison de la famille de Tamdrin.

Tamdrin, une femme agée de 34 ans, est née dans un foyer d'agriculteurs ordinaire du 2e village de Gyamu, dans la rue de Naiqung, district de Doilungdêqên. Après ses études de collège, Tamdrin est restée à la maison pour s'occuper de ses parents. Malheureusement, un accident de voiture a fait d'elle une handicapée, avec 3 plaques d'aciers implantées dans ses pieds. Quand le médecin a déclaré qu'elle avait été gravement blessée et qu'il serait difficile de se relever, ses parents ont fait preuve d'une grande inquiétude, mais Tamdrin a eu la détermination de vaincre le destin et de se mettre debout.


En photo : des poussins éclosent dans la coopérative de poulets tibétains Congling de Gyamu de Naiqung.

? Mes parents sont agés et je suis leur enfant unique. En 2015, notre famille a été enregistrée comme ménage pauvre. Au bout de 3 ans de rétablissement, j'ai finalement pu marcher lentement à l'aide des béquilles. A l'époque, je ne pensais qu'à alléger le fardeau familial, alors quand je me suis portée un peu mieux, j'ai commencé à chercher du travail. Avec l'aide de certains cadres du village de Gyamu, j'ai été d'abord placée dans le poste de l'équipe de travail du village pour faire la cuisine, puis dans la société Tibet Ganlu Tibetan Medicine Co., Ltd. où j'ai travaillé pendant 5 ans. Un revenu stable permet à l'existence de notre famille de s'améliorer lentement. ? se souvient Tamdrin.


En photo : les ?ufs tibétains dans la coopérative de poulets tibétains Congling de Gyamu de Naiqung.

Après s'être mariée, la naissance de son bébé a alourdi la charge financière de la famille. Afin de donner de meilleures conditions de vie à ses parents et son enfant et de faire sortir la famille de la pauvreté, Tamdrin et son mari ont décidé d'élever des poulets tibétains, car ils avaient appris que le poulet tibétain avait une valeur importante en nutrition et occupait une grande part de marché à Lhassa, en plus de la bonne vente d'?ufs tibétains. En 2017, grace au soutien des proches et des amis, Tamdrin a investi 450 000 yuans dans la création de la coopérative professionnelle d'agriculteurs et d'éleveurs de poulets tibétains Congling de Gyamu de Naiqung.


En photo : les poulets tibétains élevés dans la coopérative professionnelle d'élevage de poulets tibétains Congling de Gyamu de Naiqung.

Tamdrin déclare à notre journaliste que les ?ufs tibétains se vendent très bien, au détail généralement, et qu'ils bénéficient d'une bonne bouche-à-oreille. Elle a maintenant plus de 2000 clients avec lesquels elle garde contact sur WeChat. La livraison à domicile est offerte pour une commande de plus de 100 ?ufs. Il y a aussi des clients qui ont visité en personne leur coopérative avant d'acheter les ?ufs. D'avril à octobre, c'est la période de ponte des poules tibétaines, durant laquelle la production d'?ufs est d'environ 20 à 70 chaque jour. Sur la base du prix de vente de 5 yuans (0,6 euro) pour un ?uf, la coopérative peut avoir un chiffre d'affaires supérieur à 10 000 yuans (1 220 euros) si les ventes marchent bien. Après la déduction du co?t, ils ont un bénéfice de 5 000 yuans (610 euros). De plus, le mari de Tamdrin effectue des travaux de construction et de décoration de maison dans le district de Doilungdêqên. En tant que chef d'une équipe de plus de 20 ouvriers, il amène les habitants de son village à se débarrasser de la pauvreté dans le même temps.


En photo : la mère de Tamdrin s'entra?ne dans le quartier de Xiangheyuan.

? Je suis vraiment contente de ma vie actuelle et pleine d'espoir pour l'avenir. Mes parents s'occupent de mon enfant de sorte que je peux me concentrer sur la gestion de la coopérative. En 2017, notre famille a déménagé dans le quartier de Xiangheyuan, un des points de relogement dans le cadre de la lutte contre la pauvreté. J'ai non seulement pu habiter dans une nouvelle maison, mais aussi obtenu un poste comme membre du Comité de supervision communautaire pour un salaire mensuel de plus de 1 000 yuans (120 euros). Par ailleurs, mon père gagne de l'argent en tant que superviseur des prairies. Nous touchons aussi des subventions pour l'enfant unique et les personnes agées de plus de 60 ans. Le revenu familial augmente et notre vie s'améliore aussi. Pour le moment, j'ai réglé toutes les dettes et on est sorti de la misère. Prochainement, je compte développer mes affaires, acheter plus de poulets tibétains et élargir les canaux de vente. ? dit Tamdrin avec de la confiance en elle-même.


En photo : le quartier de Xiangheyuan, où habite maintenant la famille de Tamdrin.

(Rédactrice : Claire SHENG)

    • <sup id="oooo0"></sup>
    • <nav id="oooo0"></nav>
    • <small id="oooo0"><menu id="oooo0"></menu></small>