Des mesures adaptées pour sortir de la pauvreté dans la région tibétaine au Qinghai
Au cours des deux derniers jours, la chose la plus passionante pour Zhong Wenyun est que son fils Tsonten Tsen Anjie, étudiant à Xi'an, vient d'obtenir un emploi. ? Pendant ces années à l'école, il a été bénéficiaire de nombreuses politiques préférentielles du gouvernement. Après obtenir son dipl?me fin juin, il se délivra directement au travail pour gagner de l'argent et subvenir aux besoins de la famille.
La famille de Zhong Wenyun, 44 ans, a été qualifié en 2015 de ménage pauvre en raison du manque de gagne-pain. En dehors de sa femme et son fils, sa mère dans la soixantaine reste aussi avec lui dans la famille.
? Sur les 20 mu de terre de la famille, on plante des pommes de terre, de l'orge et d'autres cultures...mais on produit de justesse assez pour l'approvisionnement de la famille, sans rien d'excès à vendre. Chaque année pendant les quatre mois de loisirs sans labour aux terres, ma femme et moi devons travailler loin de chez nous pour gagner un peu plus de 10 000 yuans.
La famille Zhong Wenyun est aussi qualifié de un ménage pauvre. Bénéficaire de politiques préférentielles en matière de logement, soins médicaux, d'éducation, etc., sa famille a également acheté 3 bovins grace à un fonds de projet industriel de ménage, avec une subvention de 5 400 yuans par personne.
? Au début, ma femme sortait pour faire des boulots. J'élevais du bétail à la maison. Après, avec l'élargissement de l'élévage, j'étais trop occupé pour tout prendre en charge. ? Zhong Wenyun a déclaré que sa famille a gagné plus de 50 000 en 2019 et a également construit un nouveau cl?ture d'élevage grace à des prêts de crédit. Il y a maintenant 29 bovins dans la famille. Cette année, il prévoit de rélargir l'échelle d'élevage par des prêts.
Selon les rapports, les causes de la pauvreté des ménages pauvres dans les villages restes diverses, de sorte que la stratégie de réduction de la pauvreté doit être personalisée pour chaque ménage. Prenons seulement les activités de paysans, on compte élevage bovin Simmental, élévage de porc, élevage de poules pondeuses et culture de pommes de terre. Le village a également organisé des cours comme conduite d'auto, manipulation de machines d'excavation, compétences entrepreunariat, commerce électronique, soudage électrique, etc. En outre, des pauvres s'engagent dans des postes de bien-être public comme forestiers ou rangers.
Le village de Jiangjungou, qui est à seulement 3 kilomètres du village de Sanjiaocheng, dispose de différentes pistes pour réduire la pauvreté. Wang Chunyuan, premier secrétaire du village de Jiangjungou, a déclaré que les ménages pauvres enregistrés du village ont principalement réussi à réduire la pauvreté grace à la culture d'herbes en médecine chinoise et tibétaine et au développement du secteur touristique.
Kang Hai'ao, 67 ans, vit avec sa femme et son fils cadet souffrant d'un retard mental. En plus d'élever du bétail et de cultiver la terre, il fait habituellement de petits boulots dans le village. Les revenus tirés de la vente de bétail et des boulots sont de près de 20 000 yuans ; sa femme Chen Mingxiu travaille à la coopérative de plantation de médecine chinoise et tibétaine du village, gagnant plus de 2 000 yuans en été ; et son plus jeune fils, Kang Shengwen, travaille comme garde forestier dans le village et gagne 14 000 yuans par an.
? Maintenant, les trois personnes de ma famille peuvent gagner de l'argent pour subvenir aux besoins sans quitter le village. Notre niveau de vie s'est beaucoup amélioré. Le plus important est que ma fa?on de penser a beaucoup changé et qu'il me tarde de créer une meilleure vie grace au travail assidu pour mon propre compte ?, a déclaré Kang Hai'ao.
(Rédactrice : Lucie ZHOU)
