Yang Gyalchak avait toujours rêvé de gérer sa propre ferme familiale.
Yang Gyalchak est un homme timide et simple. Ses yeux brillent lorsqu’il nous raconte sa vie en pleine mutation et son projet d’avoir une ferme familiale. ? En tibétain, mon prénom signifie succès et chance ?, précise-t-il.
Grace à des politiques privilégiées et des aides gouvernementales, il n’a fallu que deux ans à ce fermier pour sortir de la pauvreté.
Il y a deux ans, Yang Gyalchak n’avait aucune qualification professionnelle et vivait seulement du paturage, avec peu de terrain et de bétail. Ses revenus annuels, souvent inférieurs à 5 000 yuans, provenaient principalement du paturage et de la cueillette de Cordyceps Sinensis.
En dépassant les 92 000 yuans en 2017, la famille de Yang Gyalchak a atteint un nouveau record en matière de revenu annuel. ? Je ne me suis jamais permis de rêver cela, de pouvoir gagner autant d’argent et de vivre une vie comme la mienne aujourd’hui ?, confie Yang Gyalchak, qui est le seul du village dont les efforts ont été salués pour avoir à ce point amélioré ses conditions de vie.
Source: Xinhuanet
(Rédactrice: Caroline)